Cette performance cherche à détourner les parties du corps de la femme sexualisées par la société. Nommant leur propre oppression, les deux performeuses questionnent la représentation des femmes et l’évolution de la construction des modes esthétiques du corps féminin. Des corps pris de frénésie dans leurs propres mécaniques physiques se transforment au fur et à mesure en un mouvement robotique pour donner à voir l’image de la société industrielle de surproduction.